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Congés menstruels : une circulaire ne veut pas des autorisations spéciales d’absence

Publié le 11/06/2025 • Par Léna Jabre • dans : Actu juridique, France, Toute l'actu RH

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AdobeStock
Dans une circulaire de fin mai, la Direction générale des collectivités locales demande aux préfets de déférer systématiquement les délibérations des collectivités instituant des autorisations spéciales d'absence (ASA) pour règles incapacitantes. Elle propose aussi une alternative aux ASA, mais qui ne fait pas l'unanimité.

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Arras, Seyssinet-Pariset, Figeac… Ces derniers mois, plusieurs collectivités ont instauré au profit de leurs agents souffrant de règles douloureuses et incapacitantes des autorisations spéciales d’absence (ASA) relatives à la santé menstruelle ou gynécologique. Les décisions de justice annulant ou suspendant ces délibérations se sont succédées aussi : c’est le cas, par exemple, du juge des référés du tribunal administratif de Grenoble qui a suspendu, le 17 février, une délibération du conseil métropolitain de Grenoble Alpes métropole qui créait une ASA « santé menstruelle ».

  • ASA « parentalité et événements familiaux » : mode d’emploi du juge

Dans cette ordonnance, le juge des référés a rappelé que les ASA sont instituées par l’article L. 622-1 du code ...

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Congés menstruels : une circulaire ne veut pas des autorisations spéciales d’absence

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Fab44

12/06/2025 03h08

« Vivement la loi » ? Et pourquoi la loi devrait entériner une inégalité de traitement entre les malades ? Les règles incapacitantes ou l’endométriose sont des pathologies, et à ce titre elles doivent être traitées comme les autres.
Les personnes dépressives, celles soufrant d’arthrose, migraineuses… ? Et bien pour elles c’est toujours congé maladie ordinaire, jour de carence et 90 % du traitement ! Il y aurait donc des malades « dignes » de n’avoir aucune perte de salaire, et les autres…
Sans compter que ces ASA automatiques poseront problème dans les secteurs très féminisés (EHPAD, petite enfance, aide à domicile…) où le recrutement et l’absentéisme sont déjà difficiles à gérer. Si vous avez ne serait-ce que 10 % du personnel qui est absente 2 jours tous les mois, la charge de travail se reportera immanquablement sur les autres (et pas de télétravail possible dans ces secteurs).
En fait, ce qui est problématique, ce sont le jour de carence et la perte de 10 % de traitement en cas de maladie. Ne commençons pas à trier les malades et à faire des ASA pour les uns – ou plutôt les unes – et pas pour les autres…

Al

24/06/2025 09h28

Je partage votre analyse. Tout ça finit par du « bricolage » pour ne pas impacter les uns ou les autres. Une grossesse ne mérite pas les 10% de perte de traitement mais une autre pathologie le mériterait…moralement c’est assez contestable. Je rappelle que les arrêts maladie sont prescrits par les médecins.

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