Le projet s’inscrit à l’opposé des mesures plus ou moins coercitives souhaitées par certains députés. Et pour cause : il vient d’être rendu public par le Conseil national de l’ordre des médecins, l’Association nationale des étudiants en médecine de France (Anemf), la Conférence des doyens de médecine et l’Inter-syndicale nationale des internes. « Dans le contexte de pénurie médicale globale, il est contre-productif de réguler une catégorie professionnelle déjà insuffisamment présente sur le territoire, justifie Lucas Poitevin, président de l’Anemf. Cela ne fonctionne pas. Nous voulons donc ouvrir un nouveau champ d’exercice, l’assistanat territorial, calqué sur l’assistanat hospitalier, après l’internat. »
Il s’agirait de ...
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