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Catastrophe naturelle

Après le choc, les collectivités de Mayotte pansent les plaies

Publié le 17/01/2025 • Par Delphine Gerbeau Mathilde Elie Victoire Chevreul • dans : A la une, France

A Dzaoudzi-Labattoir, île de Mayotte.
A Dzaoudzi-Labattoir, île de Mayotte. Saïd Selim
Un mois après le cyclone Chido, puis la tempête tropicale Dikeledi des 11 et 12 janvier, les services reprennent pied peu à peu. Après la gestion de crise sociale, ils s’attèlent au chiffrage des dégâts. Et restent engagés dans une course contre la montre pour assurer la rentrée des classes annoncée le 27 janvier.

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«Nous nous sommes retrouvés isolés du monde. Et tout reposait sur nos épaules. » Samedi 14 décembre, le cyclone Chido, d’une ampleur exceptionnelle, traverse Mayotte. Après son passage, l’île est méconnaissable. Les routes, l’eau, l’électricité, les moyens de communication sont coupés. Les habitants sinistrés ont besoin d’aide.

Alors qu’aucun plan n’avait envisagé une telle destruction, les collectivités mahoraises prennent rapidement la mesure de la gravité de l’événement. Et à l’heure du bilan, plusieurs directeurs généraux des services (DGS) soulignent l’engagement sans faille de leurs agents.

« Certains étaient là pour tenir le poste de commandement, dormir en mairie, assurer la permanence, alors qu’ils étaient eux-mêmes sinistrés. Cela force le respect », résume ­François Delaroque ...

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