Vingt jours exactement pour organiser un scrutin électoral à deux tours. Tel est le défi imposé aux communes qui sortent à peine la tête de l’eau après les élections européennes. « Tout doit être organisé dans l’urgence, c’est la différence avec les élections passées », déplore Tony Moreau, DG-SG d’Ardon (Loiret, 1165 hab.). Même son de cloche du côté du DGS de Sceaux (Hauts-de-Seine, 20 488 hab.), François-Charles Bousquet, qui doit intégrer « cette charge de travail supplémentaire non prévue dans les plannings ». Le tout, sans information de la part de l’Etat pour le moment.
« On sent que la préfecture est fébrile et subit la situation, comme nous. Ils nous envoient plusieurs mails lapidaires dans la journée, avec des informations au ...
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Gazette des Communes
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