A quelques semaines de la présentation du troisième plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC3), les séquences « adaptation » se succèdent. Le 13 mars, la Cour des comptes accordait une large place au sujet dans son rapport annuel. Le 2 avril, Bercy publiait un rapport sur l’assurabilité des aléas climatiques. Deux jours plus tard, le ministre de la transition écologique annonçait la publication d’une nouvelle cartographie des zones les plus touchées par le retrait du trait de côte. Ce vendredi 5 avril, c’était la présentation d’une première addition des coûts de l’adaptation pour la métropole.
Derrière la règle à calculs : les experts de l’institut de l’économie pour le climat (I4CE). Objectif des économistes : évaluer les implications économiques des politiques ...
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