Un « gouvernement resserré »… C’est l’élément de langage matraqué par les communicants de l’Elysée depuis l’annonce du gouvernement Attal, le 11 janvier. Mais, près de deux semaines après la nomination des ministres de plein exercice, les critiques pleuvent dans les couloirs du Parlement et dans la bouche de certains élus locaux sur le manque d’implantation locale des quatorze personnalités choisies par Emmanuel Macron et son Premier ministre, Gabriel Attal.
- Gouvernement Attal : les collectivités cherchent leur place
« Aucun ministre en dessous de la Loire »
En coulisses, les langues se délient. « C’est l’entre-soi des 6e et 7e arrondissements de Paris et des ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Thèmes abordés