Quel bilan faites-vous du RIE, onze ans après la création du service à compétence nationale en décembre 2012 ?
C’est un succès. Avec environ 14000 sites et un million d’utilisateurs, ce réseau de transport de données unifié dessert la totalité des missions de l’Etat sur le terrain, des administrations centrales aux centres de production étatiques. Cela va du cabinet du ministre à des phares maritimes, en passant par des abattoirs ou des brigades territoriales de gendarmerie.
En termes d’architecture technique, c’est un bijou. Nous avons réussi à créer un réseau hybride. Une partie est directement propriété de l’Etat, l’autre partie confiée à des opérateurs publics de télécommunications tels qu’Orange ou SFR, par exemple. Quant à son épine dorsale, elle se présente sous la forme d’une double ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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