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Émeutes

Reçus à l’Élysée, les maires regrettent une simple « thérapie de groupe »

Publié le 04/07/2023 • Par Pierre Garcia Romain Gaspar • dans : A la une, A la Une prévention-sécurité, Actu experts prévention sécurité, France

Macron 241 maires
@EmmanuelMacron
Dans un contexte tendu après plusieurs nuits d’émeutes, Emmanuel Macron a convié, ce mardi 4 juillet à l’Élysée, les maires dont la commune a connu des violences. Au sortir des échanges, la déception est quasi-générale.

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Ils étaient entre 250 et 300. Mais tous ne sont pas restés jusqu’à la fin… Reçus ce mardi 4 juillet à l’Élysée par le président de la République, Emmanuel Macron, les maires de communes touchées par les émeutes avaient besoin d’extérioriser ces derniers jours de tension.

« Calinothérapie », « thérapie de groupe », « grand moment de catharsis », « opération de communication »… les mots n’ont pas manqué pour qualifier cette réception à l’Élysée qui a duré près de quatre heures.

« On était beaucoup d’élus à vouloir exprimer ce qu’il s’est passé dans nos communes », témoigne Yann Galut, maire (DVG) de Bourges (Cher). « On est fatigué. Si on m’avait dit que ce serait si dur, je ne sais pas si j’aurais accepté la mission de maire. Heureusement que l’on aime les gens », confirme Laurence ...

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Reçus à l’Élysée, les maires regrettent une simple « thérapie de groupe »

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François

05/07/2023 08h45

« C’est le cas de David Lisnard, le maire (LR) de Cannes (Alpes Maritimes) et président de l’Association des maires de France pour qui il y a « une crise de l’autorité et un besoin d’ordre ». « Le code de justice des mineurs n’est pas du tout adapté et déresponsabilise les parents. Ce n’est pas au contribuable de payer pour les parents », martèle-t-il.  »
Hier soir j’ai assisté à une réunion avec un commerçant marocain qui disait : « Ce sont les enfants de la République. Ce sont des Français qui ont cassé. Il n’y a plus de respect ni de la famille ni des adultes, ni de l’autorité. On interdit aux parents de punir leurs enfants, qui peuvent se plaindre s’ils sont châtiés et après on dit que c’est les parents qui sont responsables de la casse !.. Je n’ai pas été élevé comme cela. Tous les matins la première chose que je fais c’est baiser la main de mon père… »
Le problème de crise de l’autorité est en racine dans nos modes « d’éducation » actuelle. On a gommé les repères, la morale, la religion en mettant la liberté d’être ce que l’on veut (fille ou garçon) de faire ce que l’on veut. On a empêché les mauvaises notes ou appréciations, on a institué l’enfant roi. Comment pourrait-il souffrir la moindre frustration. Alors non il ne convient pas de rétablir un système d’enfants battus, mais oui il faut fixer des règles et rappeler que l’enfant est sous l’autorité des parents et des éducateurs et que s’ils ne les respecte pas, il peut être puni.
Et il faut redonner le goût de l’idéal, de l’effort pour une cause qui transcende et qui récompense aussi par tout ce qu’elle apporte de positif. Sinon nous aurons beaucoup de frustrés et de violents.

Al

05/07/2023 02h22

La fameuse crise des repères, des valeurs, et le règne de l’enfant roi, dure depuis bien longtemps alors. Les conservateurs disaient la même chose en 2005, en 1968, ou encore dans les années 50 avec le phénomène des blousons noirs. Invoquer la sempiternelle crise d’autorité pour expliquer les violences urbaines, c’est se priver d’outils et de recherches sociologiques/historiques pourtant nécessaires pour analyser ces phénomènes et proposer des solutions.

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