Ce devait être une simple visite de chantier, d’un gymnase. « Bien sûr, il figurait aux normes en matière d’accessibilité, comme l’exige la loi », rembobine Gilbert Derus, adjoint (SE) chargé des sports à la mairie de Saint-Ouen-l’Aumône (24 500 hab., Val-d’Oise). Mais, juste avant la livraison, le casque de chantier vissé sur la tête, l’élu local s’est « retrouvé face un gros problème. Le concepteur n’avait dessiné qu’un seul vestiaire accessible aux personnes en situation de handicap, sur les deux ! J’ai hurlé ». Erreur réparée ensuite, mais l’anecdote illustre à ses yeux « tout le chemin qu’il reste à parcourir en matière de sensibilisation au handicap et de prise en compte du parasport ».
- Comment assurer une meilleure accessibilité des personnes porteuses de handicap aux clubs et ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Acteurs du sport
Cet article fait partie du Dossier
Sport et handicap : l'effet JO tarde à se faire sentir
Sommaire du dossier
Thèmes abordés