Les acheteurs des collectivités se sont-ils approprié les outils du Pnad ?
Le Pnad a été bien accueilli. Les acheteurs publics y sont réceptifs. En un an, par exemple, la plateforme Rapidd (réseau des administrations publiques intégrant le développement durable) a vu son nombre d’inscrits plus que doubler. Nous y voyons un marqueur de l’engagement des acheteurs.
Toutefois, nous sommes conscients que beaucoup d’entre eux restent à mobiliser. L’objectif du Pnad est de traduire les obligations de la loi « climat et résilience » du 22 août 2021 en outils pour que les acheteurs et les opérateurs économiques puissent s’en emparer et être au rendez-vous de l’échéance fixée en 2026 (100 % des contrats de la commande publique avec au moins une considération environnementale et 30 % avec au moins une considération sociale). Nous avons encore du travail pour y parvenir.
Quel est bilan après un an d’existence ?
Nous avons lancé une grande partie des 22 mesures qui figurentdans le plan. Des partenariats ont été noués avec les réseaux régionaux de la commande publique pour être au plus près des acheteurs locaux.
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