L’idée de l’urbanisme transitoire, née il y a une bonne dizaine d’années, est de mettre des sites en transition à la disposition de collectifs qui y développent des activités ou du logement. Ce qui est désormais la règle sur l’immense majorité du foncier vacant, mais non sans opportunisme.
« Le gardiennage d’un site nécessite environ 15 000 euros par mois. L’occupation temporaire permet d’éviter ces frais », reconnaît volontiers Martine Gascoin, conseillère territoriale chargée des tiers-lieux et des occupations temporaires à l’EPT Est ensemble (9 communes, 426 400 hab.). Mais la volonté est avant tout de mettre le pied à l’étrier à des porteurs de projets culturels et économique ou d’aider les plus précaires à se loger, sans perdre de vue l’objectif d’affiner le devenir définitif du ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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