La « petite Californie bretonne » : c’est ainsi que fut surnommée Saint-Nazaire dans les années 1860, à la naissance des chantiers navals qui, aujourd’hui encore, font la pluie et le beau temps de la cité portuaire. Un siècle et demi plus tard, au-delà des palmiers parsemés dans la ville, le surnom pourrait redevenir d’actualité, alors que le marché immobilier atteint des sommets. Comme nombre de villes moyennes depuis la crise sanitaire – à partir de 2017 ici –, la cité littorale voisine des coquettes communes de Pornichet et La Baule, avec ses logements abordables et ses services de qualité, est de plus en plus prisée des familles du département, et d’ailleurs.
Peu de biens sur le marché
Marjolaine Bichet, architecte nazairienne et ardente défenseuse de sa ville d’adoption, se ...
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Gazette des Communes
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