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40 ans de décentralisation

« Dans les collectivités, les chiffres ont remplacé les lettres »

Publié le 01/03/2022 • Par Jean-Baptiste Forray • dans : A la une, France

Bœuf-jean-luc
J. Delmarty / Alpaca / Andia
Le politologue et administrateur territorial Jean-Luc Bœuf revient sur quarante ans de décentralisation à l’occasion de l’anniversaire de la première loi Defferre du 2 mars 1982. Aujourd’hui conseiller du directeur général de la gendarmerie nationale, il juge que l’élan des libertés locales a été perdu, au profit d’une vision strictement comptable.

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Quels ont été les ingrédients du succès de la première loi Defferre de décentralisation, promulguée voici tout juste quarante ans, le 2 mars 1982 ?

La force de ce texte tient au fait qu’il a été pensé largement en amont, dans les années 1970, au PSU de Michel Rocard, dans les groupes d’action municipale (GAM) du maire de Grenoble, Hubert Dubedout. Quand le Parti Socialiste remporte les municipales de 1977, il sait agréger les nouvelles couches moyennes de la société autour du mot d’ordre « changer la ville ».

Dans le même temps, la droite libérale fait sa mue. Avec Valéry Giscard d’Estaing, à partir de 1974, on n’est déjà plus dans l’ère où l’Etat décide, du jour au lendemain, de construire 1 000 piscines ou des villes nouvelles. L’échec de la loi Marcellin de 1971 des fusions de communes a ...

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« Dans les collectivités, les chiffres ont remplacé les lettres »

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henri Tanson

02/03/2022 06h34

On ne peut pas réfléchir à la question de la décentralisation des pouvoirs en France, sans évoquer l’Union européenne : l’Europe, comme ils disent et sa volonté d’agréger des petits territoires plutôt que des Etats forts. Tout semble fait pour affaiblir les Etats, à la fois dans leur façon de fonctionner mais aussi, dans leur perception dans l’opinion publique ; il faut faire croire que des territoires se porteront mieux quand l’Etat « centralisateur » aura disparu.
Comme il faut croire, maintenant, qu’il vaut mieux dépendre des subventions de l’UE bruxelloise que de Paris.
Pourquoi pas ?
Le problème, c’est que jamais il n’y a eu de vrai débat sur la question et que jamais on ne nous a demandé notre avis.
En cette période de campagne présidentielle, il y aurait bien un candidat qui propose de revoir cette organisation territoriale de fond en comble qui tend actuellement à supprimer les communes et les départements en créant une France de communautés de communes, de métropoles, et « d’euro-régions » avec un Etat qui devient de moins en moins présent, pour revenir à une France à trois niveaux opérationnels, qui reconnaîtrait l’intérêt de la proximité du pouvoir que représentent les communes, avec des départements renforcés et un Etat qui reprendrait son indépendance avec Bruxelles.
Mais il y a peu de chances qu’il y ait le moindre débat sur la question au cours de ces présidentielles.
Dommage.

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