Le discours de certains élus a beau chercher à noyer le poisson, les questions de mobilité urbaine continuent à opposer. D’un côté, les partisans de la liberté de circuler en voiture. De l’autre, ceux qui estiment qu’elle doit laisser la place à des modes de transport doux ou actifs, afin de réduire l’encombrement, la sédentarité des habitants, la pollution ou le bruit. Jeudi 3 février, c’est à eux que s’adressait une conférence sur les territoires apaisés organisée par le Cerema et l’association Rue de l’avenir.
Avec quelques arguments : « Cela fait quarante ans que l’aménagement des territoires est organisé autour des automobiles. Mais pendant des centaines d’années, les villes ont fonctionné sans et ça marchait très bien. Retournons le constat. Ça ne fait que quarante ans qu’on pense ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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