Depuis cinq ans, le décret « relatif à la prévention des risques liés aux bruits et aux sons amplifiés » , dit décret « son » par les organisateurs de concerts et d’événements incluant de la musique amplifiée, constitue l’archétype de l’impasse réglementaire : un texte aux objectifs louables (préserver la santé auditive du public), techniquement très complexe parce que portant sur la physique du son, et dont l’interprétation et les modalités d’application sur le terrain restent improbables, faute d’ un arrêté rendant réaliste l’application des principes et des critères retenus.
Avec, au jour le jour, une insécurité juridique permanente, car, comme ne cesse de le rappeler l’association AGI-SON, engagée dans la conciliation des musiques amplifiées et de la santé auditive, le ...
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