Permettre à des restaurants d’avoir des implantations en proche banlieue parisienne, parfois loin de leur(s) établissement(s) historique(s) du cœur de la capitale : c’est le principe de ces sites de cuisines partagées surnommées « dark kitchen ». Il recouvre plusieurs types de situation. Il peut s’agir d’une structure qui n’est pas destinée à recevoir de la clientèle, mais qui est optimisée pour la vente à emporter. En ce sens, les locaux d’une dark kitchen ne sont composés que d’une cuisine et n’ont pas de salle de restaurant pour accueillir clients et serveurs.
Une dark kitchen peut aussi être caractérisée par une société spécialisée qui va prendre à bail le local en le divisant en plusieurs espaces de cuisines sous-loués par différents ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Domaines juridiques