L’épée de Damoclès qui pesait sur l’ENA s’est finalement abattue sur elle le 8 avril : Emmanuel Macron a confirmé la suppression de cette école – dont il est issu -, idée qu’il avait évoquée dès après la crise des gilets jaunes.
Il a entériné cette annonce devant tous les directeurs d’administrations centrales, préfets, ambassadeurs, recteurs et autres présidents de grands corps réunis en visioconférence pour une « convention managériale de l’Etat ». « A ce stade, précise l’Elysée, aucune autre école n’est supprimée. »
L’ENA devrait être remplacée par un « institut de management public », qui assurera aussi bien la formation initiale que continue des hauts fonctionnaires. Amélie de Montchalin, ministre de la transformation et de la ...
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Gazette des Communes