« La loi de programmation ? C’est Cahors ! » Si certains élus sont convaincus par le bien-fondé de la contractualisation avec l’État, d’autres restent dubitatifs voire arc-boutés sur la défensive. À l’heure où ils réclament plus de visibilité de leurs recettes que la crise sanitaire a contribué à opacifier, les élus locaux ont du mal à trancher entre une loi de programmation synonyme d’anticipation et la loi de finance dont ils peuvent estimer s’accommoder des contours. Le débat reste grand ouvert.
- Impact financier du Covid-19 : derrière la guerre des chiffres, une crise de confiance
« Les collectivités territoriales ont besoin d’une loi de programmation pour investir et anticiper. Un cadre pour se projeter, comme les cycles pluriannuels auxquels elles sont habituées. C’est une sorte de ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Finances
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés