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Sécurité

« Avec les Ă©cologistes, on peut s’attendre Ă  un tournant dans les politiques de sĂ©curitĂ© »

Publié le 01/07/2020 • Par Hervé Jouanneau • dans : A la Une prévention-sécurité, Actu prévention sécurité, France

Sebastian Roche
Grasset
Selon le sociologue Sebastian Roché, l'arrivée des écologistes à la tête de plusieurs grandes villes françaises constitue "une opportunité inédite et majeure de changer la manière de concevoir la police". A l'opposé du fameux "continuum de sécurité", qui veut renforcer la coopération policière, les Verts prônent une police municipale aux missions préventives, répondant aux besoins des habitants. Et pas forcément armée. Explications.

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De Lyon à Strasbourg en passant par Bordeaux, Besançon, Tours, Poitiers ou Annecy, les victoires des Verts aux élections municipales ont créé le surprise. Mais si leur succès historique s’explique en grande partie par les exigences écologiques d’une population plus que jamais sensibilisée au dérèglement climatique, leur expérience de la gestion municipale soulève des questions. Notamment dans le champ de la sécurité publique.

Il suffit en effet de lire leur profession de foi publiée en mars dernier sur les questions de sécurité pour mesurer leur singularité. Dans ce texte doctrinal, ils rejettent la « militarisation des polices municipales » et le danger de leur armement et dénoncent l’inutilité de la vidéosurveillance et son coût exorbitant. « À rebours de la surenchère sécuritaire, nous affirmons que la sûreté locale repose sur une approche préventive et démocratique » affirment-ils, plaçant l’expertise de l’usager citoyen et le partenarial local au cœur de leur programme.

Faut-il donc s’attendre à un tournant dans les politiques locales de sécurité ? La réponse du  sociologue Sebastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de « De la police en démocratie » (Grasset).

La victoire des écologistes dans plusieurs grandes villes françaises peut-elle selon vous chambouler les politiques de sécurité ?

Il est encore trop tĂ´t pour affirmer qu’ils le feront mais, en effet, l’élection de ces maires Verts, auxquels j’ajoute celle d’Anne Hidalgo, constitue une opportunitĂ© inĂ©dite et majeure de changer la manière de concevoir la police. Ils proposent une vraie alternative Ă  la sĂ©curitĂ© publique vue comme une succession d’interventions musclĂ©es et d’interpellations.
Pour la première fois depuis 40 ans, des élus locaux affirment clairement leur intention de développer une police municipale aux missions spécifiques qui ne soit pas une force d’appoint à la police nationale. En somme, et c’est décisif, une police tournée vers les attentes des habitants et non celle des préfets.
Cette volonté, qui a été exprimée pendant la campagne électorale, n’est pas celle d’une ville laboratoire mais d’un ensemble de grandes villes, dont la capitale. Or, en matière de sécurité, en France ce sont les maires qui ont toujours fait bouger les lignes et développer des approches nouvelles.

Quelle serait alors la spécificité de l’approche des Verts dans le domaine de la sécurité ?

Les programmes des différents élus écologistes montrent qu’ils n’ont pas encore de véritable doctrine concernant la sécurité publique. En revanche, il y a une sensibilité, dont le maire de Grenoble, Eric Piolle, avait témoigné lors de campagne électorale de 2014 et que les nouveaux élus reprennent.

D’abord, leur modèle propose d’intĂ©grer l’action de la police municipale dans l’action partenariale. Cela paraĂ®t banal mais en rĂ©alitĂ©, c’est Ă  contre-courant de la vision gouvernementale. En effet, le modèle dominant voulu aujourd’hui repose sur le supposĂ© « continuum de sĂ©curité » qui est en fait un « continuum des polices » et consiste à renforcer la coordination des diffĂ©rentes polices – Ă©tatique, municipale et privĂ©e – entre elles.

La proposition des écologistes, qui va puiser dans les rapports Bonnemaison et Belorgey du début des années 80, est bien différente. Il s’agit pour eux de faire travailler la police municipale avec l’ensemble des partenaires locaux, comme l’Education nationale, la Santé, les autres collectivités territoriales, les associations… Si les nouveaux maires valident cette approche et la mettent en œuvre, on pourra alors parler de tournant dans les politiques locales de sécurité.

Le deuxième axe est de dĂ©finir les missions des policiers municipaux en fonction des attentes exprimĂ©es par les habitants et non des prĂ©fets qui eux rĂ©percutent celles de l’Etat. Ce modèle est en gĂ©nĂ©ral celui des polices locales d’Europe, le plus souvent rĂ©gionales, qui ont une vĂ©ritable capacitĂ© Ă  dĂ©finir les prioritĂ©s Ă  partir des besoins de la population.

Affirmer de la sorte que la bonne police n’est pas celle du continuum des polices mais celle qui est tournée à la fois vers le partenariat local, c’est-à-dire la prévention, et les usagers, c’est un choix politique majeur. La plus grosse erreur du modèle actuel est de confondre la police et la sécurité. Une nouvelle conception de la sécurité portée par les élus écologistes laisserait entrer un courant d’air que nous n’avons pas ressenti depuis longtemps.

Concrètement, comment mettre en œuvre ce modèle de sécurité locale ?

Le modèle de police français est obsolète, il est temps de le réformer. Définir une doctrine d’emploi de la police à partir des besoins des habitants suppose de créer des outils. C’est ce que la ville de Paris s’emploie à faire avec des dispositifs pour recueillir les attentes de la population. Cette ingénierie renvoie aux diagnostics locaux de sécurité mis en place dans les années 80 et 90 puis dans le cadre de police de proximité du début des années 2000. Elle suppose aussi de créer des capacités nouvelles chez les agents par la formation: écouter la demande et savoir se justifier, ça s’apprend.

Par rapport aux années quatre-vingt, les élus des grandes villes disposent de leviers. Ils ont aujourd’hui les moyens d’approfondir les relations partenariales entre la police municipale et les autres administrations. Il y a désormais dans les collectivités une véritable professionnalisation des personnels qui ont acquis un savoir-faire. Les possibilités de mobiliser les partenaires sont plus grandes qu’hier.

La maire de Paris s’est engagée à créer une police municipale sans arme à feux. Quant aux élus verts, ils ne dissimulent pas leur malaise face à l’armement des policiers municipaux. Peut-on envisager un désarmement des agents dans certaines villes ?

C’est très compliquĂ© d’enlever des armes Ă  une force de police. On l’a vu avec l’exemple des lanceurs de balles de dĂ©fense (LBD). La preuve est faite que ce sont des armes inutiles et dangereuses. Près d’une trentaine de mutilations ont Ă©tĂ© dĂ©nombrĂ©es en une annĂ©e. Ce n’est pas pour autant que ces armes ont Ă©tĂ© retirĂ©es par le gouvernement.

Cela dit, le choix de ne pas armer sa police est pertinent. Dans les pays qui n’arment pas les policiers, comme la Grande-Bretagne, le nombre de tués est plus faible tant chez les policiers que chez les citoyens. C’est un fait qui n’est pas considéré dans le débat politique français.

Le non-armement engendre aussi des effets très positifs sur le plan économique. Tous les moyens dédiés à l’armement seraient très utiles pour faire autre chose. Il faut en effet dégager les ressources et du temps pour former les personnels à d’autres savoir faire et par exemple de gestion des tensions, et surtout à de nouvelles compétences partenariales et relationnelles.

En rĂ©sumĂ©, l’arrivĂ©e des Ă©cologistes Ă  la tĂŞte des grandes villes va peut-ĂŞtre, enfin, relancer le dĂ©bat en interrogeant le modèle qui prĂ©vaut aujourd’hui d’une police part trop coupĂ©e de la population, de plus en plus armĂ©e (arme de poing, longue, LBD, taser, grenades), et centrĂ©e sur le contrĂ´le d’identitĂ© et l’intervention. Ce mĂŞme modèle qui, on l’a vu ces dernières semaines, a provoquĂ© une mobilisation mondiale contre lui…

Proximité et dialogue au programme des candidats

Que ce soit à Bordeaux, Lyon ou Grenoble, les élus misent sur la proximité et le dialogue. Pas d’armement ou de caméras de vidéosurveillance en prévision, mais un renforcement des effectifs pour accentuer la présence des agents dans toute la ville. Ainsi, à Lyon, Grégory Doucet prévoit d’augmenter les effectifs d’au moins 20 agents durant le mandat et de renforcer la brigade cycliste. A Grenoble, il est question de maintenir l’effectif à 100 policiers municipaux et de renforcer de 30% la présence de la police municipale grâce au déploiement complémentaire d’une police de l’environnement.

Les élus écologistes misent donc tout sur la présence humaine. A Bordeaux par exemple, Pierre Hurmic précise que la sécurité des personnes et des biens doit passer par l’éducation, la prévention et la répression « si nécessaire ». Il souhaite pour cela organiser des unités territoriales de quartiers réparties de manière équilibrée dans toute la ville. Il veut une police municipale plus proche et mobile, à l’écoute des habitants, et avec des horaires d’intervention élargies. L’objectif est de « rétablir le lien de confiance », afin notamment de « favoriser la collecte de renseignements indispensable à la tranquillité publique ».

Les brigades mixtes sont aussi Ă  l’ordre du jour, notamment avec les acteurs de proximitĂ©. A Bordeaux, il s’agirait de rapprocher les policiers municipaux des autres services tels que la voirie, l’urbanisme ou la propretĂ©, lĂ  encore afin de favoriser les Ă©changes avec les habitants. A Lyon, GrĂ©gory Doucet souhaite donner davantage de visibilitĂ© et de mobilitĂ© Ă  ses agents avec une implantation dans tous les quartiers d’antennes rassemblant les policiers municipaux et les Ă©ducateurs de rue.

Les élus réaffirment aussi leur opposition à la vidéosurveillance avec une nuance à Lyon où Gregory Doucet promet « une adaptation du dispositif en fonction des conclusions tirées ». En revanche, il se positionne pour la mise en place de la vidéo-verbalisation statique et sur véhicule pour sanctionner les infractions routières et certains stationnements. Même chose à Bordeaux avec la vidéo verbalisation sur certains points stratégiques (respect des arrêts minutes, voies réservées au covoiturage), ou à Grenoble avec le déploiement du contrôle automatisé et de la verbalisation à distance pour réduire les violences routières.

Enfin, les nouveaux maires préconisent une clarification des relations avec les forces de l’Etat. Grégory Doucet souhaite ainsi renégocier le Contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD). « Les missions de la PN et de la PM doivent être plus distinctes et claires pour gagner en efficacité », peut-on lire dans le programme.

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« Avec les Ă©cologistes, on peut s’attendre Ă  un tournant dans les politiques de sĂ©curitĂ© »

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Duzanski

02/07/2020 10h08

Bonjour Monsieur,

Suis Bcp dans une ville de presque 95 ooo habitants, j’ai 20 ans bientĂ´t dans cette corporation. Je rĂ©ponds une nouvelle fois Ă  un des intervenants au club.
Avec l’Ă©lection des nouveaux maires « Verts », de nombreux articles comme le votre apparaissent. Je voulais Ă©changer sur certains points de votre article.
Depuis mes dĂ©buts, j’ai vu Ă©voluer cette sociĂ©tĂ© vers toujours plus de contestations, de violences, d’individualitĂ©. On tue parfois pour des futilitĂ©s. Que pensez-vous des agressions des Pompiers dont on a du les Ă©quiper de camĂ©ras et ce malgrĂ© des tentatives de certaines communes qui ont organisĂ© des rĂ©unions de prĂ©ventions ayant pour objet d’expliquer qu’il ne faut pas lancer des pierres, agresser les SP etc…Vous comme moi, nous connaissons le rĂ©sultat ! Dans ce 1ier exemple, quelle serait votre proposition afin de stopper ces agressions pour des personnes qui ne viennent QUE sauver des vies !
Je vous rappelle que de nombreux maires dans les années 1990 et encore actuellement ont favorisé ces zones de non droits pour lesquelles nous avions des consignes très claires de ne pas intervenir. Pour certaines de ces zones, des individus ont basculé vers le terrorisme.
De nombreux maires, embauchent des PM pour les mettre sur la VP et ainsi montrer aux administrĂ©s qu’il y a du « Bleu » sur cette dernière…et cela s’arrĂŞte lĂ  ! Expliquez moi concrètement comment le PM va -t-il gĂ©rer une agression, un vol etc…sans arme, sans formation etc… Comment va t’il gĂ©rer un enlèvement d’un VL qui va mal tourner devant l’agressivitĂ© du conducteur ? Comment gĂ©rer une agression devant une Ă©cole entre futurs parents divorcĂ©s qui se disputent la garde des enfants ? et je pourrai vous donner des centaines d’exemples comme un tapage dans une citĂ© ou devant un individu ivre ! Quelle serait votre proposition pour ces cas ?
Le fait de porter une arme n’empĂŞche pas d’ĂŞtre courtois, de faire de la prĂ©vention et de parler aux personnes. Je vous rappelle la diffĂ©rence entre un LBD et un Flash Ball. Les PM n’ont pas de LBD et ne peuvent se servir du Flash Ball qu’en cas de LĂ©gitime DĂ©fense ! Nous ne faisons pas de maintien de l’ordre. Je vous affirme Ă©galement qu’après des recherches, AUCUN PM n’aurait blessĂ© Ă  tort une personne par l’usage du Flash ball ! Pour une personne en IPM et ce malgrĂ© la mise en place de lieux pour les SDF pour certains d’entre eux (lieux avec chiens possible) qui sont agressifs Ă  l’encontre des piĂ©tons, comment je fais pour l’interpeller ? Beaucoup de maires refusent d’organiser des cours de GTPI (Self Police). En effet pendant ces cours, il ya un risque de blessures, les PM ne sont pas sur la VP etc… Je pourrais vous parler de la mise en place d’une amende Ă  135 euros pour les places de GIC/GIG car les français ne respectaient toujours pas cet endroit et ce malgrĂ© des campagnes de prĂ©vention. Et je ne vous parle mĂŞme pas des utilisations frauduleuses des cartes GIG/GIC.
Je pourrai vous dĂ©montrer lors d’une patrouille que lors d’une phase de verbalisation, je fais aussi de la prĂ©vention, du renseignement touristique et je suis visible en sĂ©curisation de la zone (ex commerces).
Le lĂ©gislateur a Ă©galement durci l’utilisation du port au volant. Pourquoi d’après vous ? Et pourtant de très nombreuse campagnes de prĂ©vention ont Ă©tĂ© Ă©tablies. Mon constat : rien ne change !
Pourquoi embaucher des PM avec un cadre, un coĂ»t plutĂ´t que des agents sociaux, des Ă©ducateurs sportifs ? N’oubliez pas non plus que je vois « mal » la police nationale prendre des missions de la PM !! pour de nombreuses raisons. Par exemple, la surveillance des passages piĂ©tons au devant des Ă©coles au milieu de la citĂ© et lorsque vous ĂŞtes confrontĂ©s Ă  des dealers devant, des fumeurs de joints et que vous ĂŞtes pris par les parents qui se plaignent de notre manque de rĂ©action ! Quelle serait votre proposition ?
Enfin dernier exemple, les rodĂ©os ! comment je fais, quand les habitants de ces zones font appel Ă  nos services, pour faire stopper ces pratiques provocatrices et dangereuses ? J’ai dĂ©jĂ  vĂ©cu des rĂ©unions de prĂ©vention avec des jeunes de ces quartiers, le rĂ©sultat a Ă©tĂ© catastrophiques. Nous avons essayĂ© de passer par des Ă©ducateurs. RĂ©sultat identique !
Qu’entendez vous ĂŞtre Ă  l’Ă©coute des habitants, des commerçants ? Quel renseignement pour quel rĂ©sultat, quelle utilisation ? La prĂ©vention doit se mesurer ! Sinon cela relève de la dĂ©magogie !
Pour Grenoble est ce le rĂ´le d’un PM d’encadrer la transhumance Ă  travers la ville ? La ville est toujours aussi dangereuse (voir courrier rĂ©digĂ© par le procureur il y a 3 ans, je crois). Les Maire Ă©cologiques peuvent apporter un meilleur art de vivre, plus Ă©cologique (tri, parc, piĂ©tons etc…) La dessus, j’en suis convaincu.
Vous remercie de votre attention et reste à votre écoute.

Eric D.

François

03/07/2020 04h20

Merci pour votre intervention, tout cela sent le vécu, le réel.
Je serai heureux de connaître les réponses à vos questions.

François

02/07/2020 11h05

Bonjour,
Je ne sais pas si on va dans le bon sens…
Pas de vidĂ©osurveillance pour retrouver les auteurs d’infractions dĂ©lictuelles, mais vidĂ©o verbalisation contre les contraventions routières…
On savait déjà que les automobilistes étaient dans le collimateur de certains écologistes, on en a une démonstration efficace.
Les « violences routières » sont plus graves que les violences aux personnes et aux biens.
Élisez un prĂ©sident Ă©cologiste et vous aurez une belle rĂ©forme du code pĂ©nal. Il sera plus grave d’avoir une vieille voiture que d’agresser une vieille dame…

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