La collectivité connectée se déploie et multiplie ses usages : les poubelles se dotent de capteurs de remplissage, les lampadaires détectent la présence de piétons, les caméras scrutent les embouteillages et les antennes fleurissent pour capter ce flot d’informations.
Mais cette débauche de connectique est-elle raisonnable ? Quel est l’impact environnemental de cette kyrielle d’objets électroniques ? Si le transit d’informations n’est pas neutre, il s’améliore en permanence, assure-t-on.
« Chaque octet transféré consomme de moins en moins, confirme Gérard Le Bihan, directeur du pôle technologique Images et réseaux, à Lannion [19 900 hab., Côtes-d’Armor]. Cette efficacité est toutefois contrebalancée car il y a de plus en plus
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Gazette des Communes
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Ville du futur, ville sûre : la résilience
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