Pour les crèches municipales de Besançon, la réflexion sur l’utilisation de couches lavables avait été lancée en 2008 et associait l’Ascomade (Association des collectivités pour la maîtrise des déchets et de l’environnement, qui a publié un guide pratique en 2012). La ville se posait alors la question de la pertinence d’investir dans un second four d’incinération. Elle y avait finalement renoncé et lancé un plan de tri des déchets ambitieux.
Au Sybert, le syndicat mixte pour le traitement des déchets, comme chez les élus municipaux, la proportion de 10 % des ordures ménagères à incinérer provenant de couches jetables semblait un levier important.
Entreprise d’insertion
« Ces 10 %, soit 3 500 tonnes par an, ce n’était pas rien et nous avions alors décidé de faire des couches ...
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