Une circulaire du 11 mars vise à clarifier les dispositifs existants relatifs à la prise en charge des victimes d’actes de terrorisme en désignant l’autorité qui a la responsabilité d’annoncer le nombre de victimes d’un acte de terrorisme et en améliorant le dispositif des numéros d’urgence destinés au public. Elle se substitue à la circulaire du 10 novembre 2017 relative à la prise en charge des victimes d’actes de terrorisme.
Entre autres, ce texte facilite la coordination entre les différents intervenants par un meilleur partage de l’information et veille à la continuité de l’aide apportée dans le prolongement du traitement d’urgence.
En cas de crise majeure, est établit au centre de crise et de soutien, sur décision du Premier ministre, une cellule interministérielle d’aide aux victimes pour assurer la prise en charge des victimes d’acte de terrorisme sur le territoire français et en haute mer, à bord des navires sous pavillon français et des aéronefs sous immatriculation française.
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