Dans la famille des civic tech, Stig veut créer la première vision en temps réel de la volonté générale. Si l’objectif est ambitieux, les deux cofondateurs de la start-up y croient dur comme fer. « Le postulat de départ vient d’un constat : le manque de connaissance de la volonté générale par les élus, qui doivent, pourtant, agir en fonction de cette dernière », explique l’un d’eux, Jérémie Paret. Les trentenaires ont alors imaginé fin 2016 une appli « de démocratie participative où chacun pourrait avoir son mot à dire concernant les grandes décisions collectives, tant locales que nationales ».
Et de rappeler que leur appli est avant tout un outil de coconstruction : « Le nom Stig vient du mot stigmergie, qui désigne une forme d’intelligence collective auto-organisée où les projets sont ...
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Gazette des Communes
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