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Fonction publique

Vincent Potier : « Un parcours de formation pour chaque agent »

Publié le 23/03/2010 • Par Jacques Paquier • dans : A la une, A la une emploi, Actu Emploi, France

Vincent Potier DG CNFPT
D.R.
Mobiliser les forces du CNFPT pour accroître la pertinence et la quantité des formations dispensées aux territoriaux : tel est l’objectif que se fixe le nouveau directeur général de l’établissement. Dans une interview exclusive, Vincent Potier insiste sur la nécessité d’une double écoute : celle des collectivités par le CNFPT, et celle des agents par les collectivités.

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Il faut faire en sorte d’aboutir à ce que chaque agent puisse construire son parcours de formation, fait-il valoir en substance.

Conformément aux orientations exprimées par le président François Deluga, Vincent Potier entend développer les formations sur-mesure. Il souhaite doubler le nombre d’agents de catégorie C accueillis en formation par le centre, grâce à des modules plus adaptés et dispensés avec une proximité géographique accrue.

A l’autre bout de l’échelle, le CNFPT entend se réaffirmer comme l’établissement de référence pour la formation des A et des A+. Dans cet esprit, les quatre Enact vont devenir chacune une école nationale de la FPT spécialisée dans un champ de politique publique, l’Enact de Montpellier devenant, par exemple, l’école de référence pour les services techniques urbains et les infrastructures publiques.

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Commentaires

Vincent Potier : « Un parcours de formation pour chaque agent »

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olivier

23/03/2010 08h56

tout ceci est du blabla. Toutes ces pseudos formations (quelque soit leur nature pour les C) sont souvent refusées pour des raisons de services et ou ne correspondent pas avec l’emploi de l’agent.

patrick

23/03/2010 09h27

Je suis ATP2 magsinier dans un lycée professionnel, je suis seul à travailler sur ce poste, chaque jour j’ai beaucoup à faire, ma présence est indispensable pour le bon fonctionnement des ateliers du lycée. Jusqu’a present je n’ai pas oser faire une demande de formation pour préparer le concours de contrôleur, mon inquiétude et de savoir si mon poste sera préservé pendant mon absence pour la préparation au concours, si je serai remplacé, est quel option prendre pour intégrer le cadre d’emploi des contrôleurs territoriaux. Car vraiment, j’ai envie d’évoluer vers un poste de controleur. J’aimerai avoir votre avis.

Patrick du 13

23/03/2010 09h36

« Le sens de notre action »…Monsieur POTIER a toujours su donner effectivement un sens à son action lors de son passage comme Directeur Général des service au CG13.
Je suis confiant pour le nouveau souffle qu’il va insuffler aux nouvelles actions de formation du C.N.F.P.T. du nouveau Président M. DELUGA.
Aux collectivités territoriales de jouer le jeu et d’appliquer à fond le très récent « droit individuel à la formation », notamment envers les grands oubliés des années passées : les catégories C, afin de dynamiser et valoriser les parcours professionnels des ces derniers.

arlésienne

24/03/2010 08h35

Excellent initiative mais qu’en est il de la réalité quand les agents n’ont aucun pouvoir de vérifier si leur demande de stage est effectivement partie au CNFPT pour inscription ?
Lorsque la demande est passée par les différentes strates de la hiérarchie, chacune ayant donné son avis, que reste il du souhait de l’agent de faire une formation

MARIE

24/03/2010 08h49

avant de vouloir lancer encore davantage d’objectifs en terme de formation, encore faudrait-il donner aux collectivités les moyens de fonctionner et notamment de mettre en oeuvre le contenu de la réforme des formations de 2007 qui est encore loin d’être appliquée par les collectivités qui pour la plus part n’ont même pas la possibilité d’ouvrir un poste de responsable de formation.
MARIE responsable de formation d’une collectivité de 17 000 habitants

BELABBES

24/03/2010 09h21

trés bon projet, les cadres de la fonction publique en ont besoin. Par contre je ne suis pas certain que le CNFPT soit en mesure d’assister les cadres dans ce projet.

suissa

24/03/2010 04h14

je voudrai savoir pour ceux a qui on dit si tu veux avancer dans ta carrière passe des examens ou des concours il n y a que comme cela que tu peux démontrer.
mais voila à 50 ans je me suis investi j ai préparé l’examen de contrôleur de travaux organisé à AIX EN PROVENCE par rhones alpes avec les frais de déplacements ( 2fois 1 jour!!! ) ;j ai de plus réussi l’examen dans une option qui se raprochait de ma fonction et depuis 2005 je n ai aucune reconnaissance et aucun poste en vue :pire même quelle formation suite à cette réussite dispensez vous ? aucune !!!
Alors à quoi servent ces formations ?que faut il en penser ? même au dela du fait que les textes précisent bien que l on est pas obligé de nous nommer ne trouvez vous pas qu’il y du gâchi et surtout du gaspillage d’argent public ( le mien en particulier ) .Surtout que l’on nomme des agents contrôleurs de travaux sans examen et sans coucours dans le même temps .
j aimerai savoir qui peut me répondre?
MERCI

robespierre

24/03/2010 05h39

De toutes façons les gros continueront toujours à s’engrossir sur le dos des petits et pour se qui est des formations ils nous laissent espèrer sachant pertinemment qu’ils tiennent les rênes et que c’est eux qui décident !!!
Nous n’avons malheureusement pas le pouvoir de décision , nous les petits agents de catégorie C .

ALIMAS

25/03/2010 02h31

COMMENTAIRE (09A011A01). SAVOIR, FAIRE ET SAVOIR-FAIRE ! À la lecture des commentaires, je perçois beaucoup d’amertume ! Tous nous voulons plus et mieux mais peu sauront faire plus et mieux ! La formation, c’est un peu comme l’abstention lors des élections : Les espérances ou les promesses attendues ne seront peut-être pas au rendez-vous, alors pourquoi voulez-vous qu’on se déplace ? La formation est un leurre si elle est perçue uniquement comme la condition sine qua non de changement de situation ou de statut. La formation permanente pour lutter contre la routine, ne doit pas être confondue avec la nécessité de former des personnes à l’exercice d’un emploi précis. Aujourd’hui, bien faire son travail ne suffit plus.

COMMENTAIRE (09A011A02). LE SAVOIR NE DOIT PAS ÊTRE CONFONDU AVEC LE FAIRE. Les capacités et conditions d’apprendre et de faire sont inégales du berceau à la tombe. Pour certains et pas forcément pour les plus doués, ils passeront de nombreuses années à apprendre tout et n’importe quoi et à ne jamais faire. Ils bénéficieront de rentes de situation, octroyées par des filières d’emplois et promotions privilégiés et ou statutaires. Pour d’autres, ne disposant pas de capacités, ressources et aptitudes nécessaires et suffisantes (financières, matérielles, temporelles, physiques, manuelles, intellectuelles, naturelles, culturelles, cultuelles, etc. …), ils commenceront très tôt à faire et, selon leurs mérites et capacités, ils compenseront ou complèteront au fur et à mesure de leur existence, leurs savoir et savoir-faire. C’est un tout. Il a ceux qui savent beaucoup mais ne font presque rien. Il y a ceux qui touche à tout mais ne savent presque rien, et il y a ceux qui ne savent rien et qui ne font et ne ferons jamais rien. Ne pas faire savoir ce que l’on est, ce que l’on sait et ce que l’on fait, tout au long de son existence, c’est faciliter la réussite des médiocres.

COMMENTAIRE (09A011A03). BIEN SOUVENT, L’IMAGE QUE L’ON DONNE DE SOI, OFFRE A PEU DE GENS, LA CAPACITÉ DE PERCEVOIR CE QUE L’ON EST VRAIMENT. Bien des personnes confondent leurs compétences, expériences et qualification avec les routines et le savoir refaire. Savoir bien faire et refaire ne suffit plus ! Seuls ceux qui sont très savants et ceux qui sont très ignorants ne changent pas d’avis (CONFUCIUS). Il ne faut pas confondre le savoir à soi (mémoire personnelle) avec la connaissance pour tous (mémoire universelle). Que faut-il apprendre du monde pour tous, pour exister soi-même et par soi-même ? La chance d’une existence c’est d’avoir de façon progressive, efficace et dans l’ordre : L’éducation (la famille), l’instruction (l’enseignement), la santé, le travail et la formation, sa vie durant.

COMMENTAIRE (09A011A04). À TROP APPRENDRE SANS DISCERNEMENT, NOTRE MÉMOIRE SATURE D’AUTANT QU’ELLE SE REMPLIT DE CHOSES ENVAHISSANTES OU INUTILES, RÉELLES OU DIFFÉRÉES. Comment acquérir et ne retenir que les choses nécessaires et suffisantes applicables aux moments opportuns ? Comment se départir, évacuer, se délester, se dépoussiérer ? Lorsqu’une expérience retient notre attention à un moment donné, comment la retrouver ? Écrire, mémoriser ou résumer l’essentiel ? Gérer des répertoires avec tables d’entrée sur les mots clés et instructions de déchiffrage, mais aussi conserver, classer et archiver l’information de référence ! Tout cela est terriblement compliqué ! Voilà pourquoi tout recommence toujours et tout le temps et explique le réflexe ou complexe de PAVLOV.: «La moitié des choses perçues ne sont pas exprimées ; la moitié des choses exprimées ne sont pas écrites ; la moitié des choses écrites ne sont pas lues ; la moitié des choses lues ne sont pas comprises ; la moitié des choses comprises le sont de travers. Sur vingt personnes qui parlent d’un sujet, une (ou deux) en parlent bien, dix sept ignorent en tout ou partie ce dont elles parlent, souvent en disent du mal, et la vingtième qui voudrait en dire du bien, le fait mal».

COMMENTAIRE (09A011A05). CHERCHEZ À COMPRENDRE, C’EST CONFRONTER ET SE CONFRONTER (ET NON S’AFFRONTER) AUX RÉALITÉS POUR SAVOIR CHOISIR, AGIR ET RÉAGIR. Chercher à comprendre c’est vouloir éviter «le prêt à penser», «le copier coller», «la paresse intellectuelle». Chercher à comprendre c’est éviter les «ifokeu», les «yaveka», les «yapuka», etc. … Cherchez à comprendre c’est s’instruire, comparer, déchiffrer, analyser, etc. … Cherchez à comprendre c’est s’affirmer. Cherchez à comprendre c’est s’engager. Cherchez à comprendre c’est respecter l’autre. Cherchez à comprendre c’est être raisonnable et humain. Cherchez à comprendre c’est vouloir aider. Prétendre avoir compris sans se déterminer équivaut à n’aider personne, y compris soi même. Cherchez à comprendre, c’est accepter de gérer les états connexes et complexes des termes de la triade : Perception (Sentiments), Raisonnement (Opinions) et Jugement (Décisions).

COMMENTAIRE (09A011A06). SAVOIR IMPLIQUE «D’AVOIR EN SOI». Il ne suffit pas d’être né pour prétendre être en capacité de savoir, apprendre et comprendre. Tous nous voulons plus et mieux mais peut d’entre-nous sont ou seront capables de faire plus et mieux. Vouloir et pouvoir apprendre, c’est aussi disposer des éléments nécessaires et suffisants pour l’ascension, la progression et l’acquisition en fonction des capacités, ressources et aptitudes actuelles ou différées (financières, matérielles, temporelles, physiques, manuelles, intellectuelles, naturelles, culturelles, cultuelles, etc. …), pour choisir, agir et réagir. Cherchez à comprendre implique de ne pas faire de château en Espagne. François MAURIAC disait : «La construction de châteaux en Espagne ne coûte rien mais leur démolition est très coûteuse».

fab

25/03/2010 01h34

Bonjour,
J’ai beaucoup aimé vos différents commentaires même si je dois l’avouer, je n’ai pas toujours tout compris. La formation est pour moi quelque chose de positif quand elle est choisie et non subie. L’avantage, c’est que la loi impose à la collectivité quand cette dernière a tendance à dire non. L’inconvénient c’est que souvent, si l’agent ne se démène pas pour mettre en pratique ce qu’il a appris, il le lui sera rarement demandé. Or,pour moi un agent formé est une collectivité enrichie.

La Gardiane

25/03/2010 08h34

Je travaille actuellement sur le plan de formation. Personnellement, je pense que la loi de 2007 est un pas en avant. Cependant, le manque de moyen des collectivités constitue un frein. De plus, pour la plupart d’entre elles, il est vrai que leur but est essentiellement de se mettre en conformité avec la loi. Seules les formations statutaires sont obligatoires. Pour le reste, il faudra probablement attendre une longue évolution; car l’argument principal de refus d’une demande de formation reste » pour assurer la continuité du service public ».

Morvan

25/03/2010 04h11

Vincent Pottier explicite bien le sens de la réforme de 2007 (j’en étais moi-même un des artisans avant mon départ en retraite il y a peu) et veut redonner un nouveau souffle au Cnfpt.Bravo.
Cette réforme s’inscrit dans l’évolution générale de la formation professionnelle qui se veut plus individualisée, plus proche des réalités du travail et plus en lien avec les besoins des personnes et des organisations de travail.
Mais un texte de loi, des dispositifs et des outils n’auront les effets attendus que si on s’en approprie le sens à tous les niveaux, de l’agent à son encadrant facilitant la progression de son collaborateur, de la DRH à son service formation guidant ces encadrants, des directions des collectivités aux partenaires sociaux contribuant à la définition d’une politique locale de formation de ses ses règles du jeu, plan et règlement formation, des services déconcentrés du Cnfpt à sa direction nationale proposant aux agents et collectivités une palette de produits et services aidant à concrétiser les objectifs de la réforme.
Bref des acteurs responsables à tous les niveaux, c’est à dire du débat et de la négociation, des politiques et des moyens adaptés, de la rigueur et de la créativité pédagogique avec un souci particulier pour les personnes éloignés de la formation qui peuvent trouver une 2è chance avec cette réforme…si elle est bien comprise et mise en oeuvre.

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