Comme le confirmait le rapport Frécon (voir la Gazette du 12/07/99), la CNRACL sera confrontée en 2000 à un besoin net de financement de 1,5 milliard de francs, pour atteindre 4,7 milliards de francs en 2001. Les mesures de décalage de trésorerie et la possibilité accordée par le Parlement à la Caisse en 1998 et 1999 de recourir à l’emprunt ne suffisant plus à répondre aux besoins, le CFL a de nouveau alerté le gouvernement. Le Comité propose ainsi un effort tripartite -hausse modérée des cotisations des employeurs et des agents, allégement par l’Etat du taux de surcompensation- pour résoudre le problème. Le gouvernement s’est dit prêt à ouvrir une concertation sur le sujet.
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