Le bureau de l’association des maires de France (AMF) a regretté, vendredi 12 janvier, la suspension prononcée par décision préfectorale à l’encontre d’une vingtaine de maires qui avaient refusé d’organiser le référendum du 24 septembre 2000. L’AMF dénonce en particulier « la sévérité et le décalage dans le temps de ces décisions, prises plusieurs mois après les faits ».
Thèmes abordés