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  • Acte III de la dĂ©centralisation : l’AMF rĂ©clame « une loi-cadre concentrĂ©e sur l’essentiel »

Décentralisation

Acte III de la décentralisation : l’AMF réclame « une loi-cadre concentrée sur l’essentiel »

Publié le 27/03/2013 • Par Jean-Baptiste Forray • dans : France

Le bureau de l’Association des maires de France a demandé, mercredi 27 mars 2013, « un projet de loi cadre » en lieu et place du texte gouvernemental qu’elle juge « technocratique ».

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204 pages et 124 articles : le bureau de l’AMF juge trop touffu l’avant-projet de loi portant décentralisation et de réforme de l’action publique. Aussi appelle-t-il le gouvernement à revoir sa copie après l’avis du Conseil d’Etat.
Par-là, l’association présidée par Jacques Pélissard (UMP) demande implicitement un report de la présentation du texte en Conseil des ministres, prévu le 10 avril.

Dans le droit fil de ses précédentes prises de position, l’AMF porte un jugement globalement négatif sur le projet de loi. Elle s’inquiète particulièrement de ses conséquences pécuniaires. Elle réclame une étude d’impact sur ce volet.
D’ores et déjà, elle s’oppose « fermement au transfert aux communes puis aux EPCI des ouvrages de protection des inondations ».

Le transfert des PLU en question – Par ailleurs, l’association souhaite que la question du transfert des plans locaux d’urbanisme (PLU) aux intercommunalitĂ©s « soit examinĂ©e sous tous ses aspects dans le cadre du projet de loi Ă  venir sur l’urbanisme et le logement, et fasse l’objet d’un vĂ©ritable dĂ©bat parlementaire ».

Elle juge aussi « inacceptable » la suppression de la libre définition de l’intérêt communautaire « pour les compétences optionnelles des communautés de communes, les compétences développement économique, politique de la ville, voirie et parcs de stationnement des communautés d’agglomération et les compétences logement des communautés urbaines ».

MĂ©tropoles sur la base du volontariat – L’AMF n’a, en revanche, rien contre le transfert ou la dĂ©lĂ©gation de tout ou partie des fonds structurels aux rĂ©gions.
Elle entend simplement y être associée. « La participation des collectivités infra-régionales doit être sécurisée ».

Au chapitre « métropoles », l’AMF se fait l’apôtre du volontariat. A Marseille, comme à Lyon, les projets, doivent, selon elle, « reposer sur un accord suffisamment large et consensuel des élus concernés ».
Un credo qu’elle accentue pour les autres groupements urbains de plus de 400 000 habitants compris dans une aire urbaine de plus de 500 000 habitants. La transformation de ces Ă©tablissements publics en mĂ©tropoles devra ĂŞtre approuvĂ©e « Ă  la majoritĂ© qualifiĂ©e des conseils municipaux Â».

Pour le maintien de la mutualisation ascendante – L’AMF juge « contre-productive » la suppression de la possibilitĂ© pour les communes de mettre Ă  disposition du personnel au profit de leur intercommunalitĂ©.

Enfin, l’association rappelle son souhait d’assurer, seule, la reprĂ©sentation des communes et des intercommunalitĂ©s au sein du Haut conseil des territoires. « Dans le respect des Ă©quilibres dĂ©mographiques, gĂ©ographiques et politiques », prend-elle soin de prĂ©ciser.

Une question qui ne relève pas de la loi, selon l’exécutif. Le gouvernement la règlera dans un décret. La demande de l’AMF devrait rester lettre morte. Des sources convergentes, proches du gouvernement, évoquent la présence au sein du Haut conseil des territoires de neuf associations représentatives, parmi lesquels sept groupements issus du bloc communal (AMF, ADCF, AMRF, APVF, FVM, AMGVF et ACUF).

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