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Délégation de services publics

Entre économies et performance, le modèle des DSP profondément bousculé (2/5)

Publié le 31/08/2017 • Par Fabienne Nedey • dans : actus experts technique, France

VEOLIA-assainissement
Rodolphe Escher
D’un secteur à l’autre, les délégations de service public (DSP) connaissent des contextes bien différents qu’il s’agisse des types d’acteurs, des modèles économiques ou du niveau de rentabilité. Mais tous sont traversés par des courants convergents.

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Un premier constat s’impose : le seuil de rémunération des délégataires est globalement tombé assez bas. En particulier dans le domaine de l’eau, l’une des activités où la gestion déléguée est la plus présente. « Les contrats signés ces dernières années se caractérisent par un écrasement des marges des opérateurs, confirme Nicolas Crinquant, directeur du département “environnement” au cabinet Espelia (1). Les marges pouvaient atteindre par le passé 15 % sur certaines délégations de service public que nous avons auditées. Aujourd’hui, elles sont en moyenne de 1 à 2 %, avec un plafond à 5 %. »

Low cost dans les transports

Les raisons de cette évolution sont multiples. Les contrats sont plus courts et donc plus souvent renégociés. La concurrence s’est accrue et les « baronnies », ces zones où un seul opérateur détenait tous les contrats, sont en voie de disparition. Et les collectivités, appuyées par des conseils aguerris, négocient âprement.

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Entre économies et performance, le modèle des DSP profondément bousculé (2/5)

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