Per- et polyfluoroalkylés, dits « PFAS » ou « polluants éternels », pesticides… Les menaces potentielles se multiplient dans l’environnement et se retrouvent bien souvent dans l’eau potable. Les rapports, études et analyses prolifèrent pour documenter le phénomène. Au cœur du sujet, la dégradation de ces molécules dans l’environnement, notamment des pesticides, ces fragments étant alors appelés « métabolites ». Dès 2019, une enquête publiée par l’association Générations futures montre qu’ils sont présents dans plus de 35 % des prélèvements d’eau potable. Plus des trois quarts d’entre eux sont des perturbateurs endocriniens suspectés ou ayant des propriétés cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques (CMR).
« Échec global » de la prévention
D’après les derniers chiffres du ministère de la ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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