Aux rencontres interrégionales de la restauration collective scolaire, en janvier, à Blois (Loir-et-Cher), Maxime Cordier, président de l’Agores, est venu ébranler une plénière sur les approvisionnements locaux des cantines. Il a cité un texte normatif roumain obligeant « tout acheteur public à prévoir un critère de production locale par rapport à la région de consommation ». Le responsable de la restauration de Fontenay-sous-Bois a enfoncé le clou en citant un texte italien cette fois, usité à Milan, où des critères géographiques discriminants sont appliqués aux offres de marché pour la restauration collective. Cela sonne impossible aux oreilles de juristes français, et pourtant… il parle sous le contrôle de Jérôme Michon, président de l’Institut de la commande publique, avec ...
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