C’est un article de Gaspard Lemaire, doctorant en sciences politiques, qui a mis le feu aux poudres. Publié dans la revue scientifique Earth le 16 janvier 2024, il dévoile une pollution de grande ampleur des canalisations d’eau potable au chlorure de vinyle monomère (CVM). Selon lui, les canalisations en PVC installées entre les années 1960 et 1980 contiennent des résidus de chlorure de vinyle monomère (CVM), « une substance gazeuse reconnue comme cancérogène par le Centre international de recherche sur le cancer. » Depuis les années 1980, la quantité de CVM dans le PVC a été réduite et ne présente plus de danger. En outre, les nouvelles canalisations sont souvent en PEHD.
Plusieurs milliers de communes
Le doctorant estime que « la concentration de CVM dans l’eau du robinet dépasse, dans ...
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