« C’est un moment très dur. Personne ne mérite de mourir comme ça » a témoigné l’un des nombreux agents de la Ville de Grenoble venus à près d’une centaine, ce lundi en début d’après midi, rendre hommage à Lilian Dejean, 49 ans, leur collègue de la propreté, tué par balle, la veille, dimanche 9 septembre au matin, dans l’exercice de ses fonctions. Un temps de recueillement s’est tenu, ce lundi, en début d’après-midi derrière l’hôtel de Ville, côté parc, au lendemain du drame. Tristesse, incompréhension, et colère. Tels étaient les sentiments mêlés qui sont ressortis des propos des agents présents et très émus.
Une mort inacceptable pour nombre d’agents
Au sein de l’assemblée, beaucoup de syndicalistes de la ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Techni.Cités, Club Prévention-Sécurité
Thèmes abordés
Régions