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[entretien] décentralisation

« La loi corse porterait sur des domaines limités et jamais sur des droits constitutionnels »

Publié le 22/05/2024 • Par Gabriel Zignani • dans : Actu Expert, France

Géraldine Chavrier chez elle. Paris 16e, le 25 avril 2024
M. Génon – La Gazette
Le projet de texte prévoyant « un statut d’autonomie » de la Corse a été adopté le 27 mars 2024 par l’Assemblée de Corse. Géraldine Chavrier, professeure de droit public, revient, pour « La Gazette », sur cette potentielle révision de la Constitution.

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Le texte, dont l’examen est attendu au Parlement, pose un statut d’autonomie de l’île, avec la ­reconnaissance d’une communauté historique, linguistique, culturelle sur « sa terre ». Il prévoit que la collectivité de Corse pourra adapter des normes législatives et réglementaires à ses ­spécificités, pour certaines matières qui seront fixées plus tard par une loi organique. Le texte envisage, enfin, que la Corse sera en mesure de fixer elle-même des normes dans des domaines relevant de sa compétence, sans autorisation, au cas par cas : c’est l’autonomie de plein droit.

La loi organique fixera les modalités de contrôle de ces normes, notamment par le Conseil constitutionnel. Il s’agira donc aussi d’actes législatifs. Si la révision constitutionnelle est adoptée, la France deviendra ainsi un Etat régional. Décentralisé dans l’­Hexagone, mais pas sur cette île.

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