« C’est pour le moins surprenant ce qui se passe depuis le remaniement ministériel », analyse Maxime Scheffler, chargé de mission au sein de l’association Amorce. Depuis quelques semaines, cet expert de la rénovation énergétique tente de comprendre les intentions du gouvernement Attal sur sa politique du logement. En vain, et pour cause. Au prétexte de dégripper le marché locatif, celui-ci a d’abord annoncé mi-février plusieurs dérogations à l’interdiction de louer des passoires énergétiques, dont une réforme du diagnostic de performance énergétique (DPE) pour sortir 140 000 logements de ce statut (lire notre article).
Un mois plus tard – et au motif cette fois « d’augmenter le nombre des rénovations » – le ministère de la Transition écologique a retouché les règles d’accès à ...
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