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Cadre de vie

Ces collectivités qui cherchent à limiter la prolifération des chats errants

Publié le 21/02/2024 • Par Hélène Huteau • dans : Actu experts prévention sécurité, France, Innovations et Territoires, Retour sur expérience prévention-sécurité

chats-errants
V. Liverts / Adobestock
La population de chats errants ne cesse d’augmenter, entraînant risques sanitaires et déclin de la biodiversité. La gestion de l’errance animale est un pouvoir de police du maire. Une politique de gestion, avec les associations, permet de contrôler la surpopulation et les coûts. Selon les associations, les campagnes de stérilisation et relâchage ont prouvé leur efficacité.

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«Nous devrions ­former des agents pour capturer et faire stériliser les chats errants. Ce n’est pas un cadeau aux associations », estime Sandra Kief, adjointe au maire de Grenoble (1), déléguée à la condition animale. La ville d’Eric Piolle fait pourtant partie des communes engagées dans la cause animale. Sur ce mandat, la mairie est passée de 2 000 à 6 000 euros par association. Une somme abondée à 100 % par la ­Fondation 30 ­Millions d’Amis. La Fondation Brigitte ­Bardot accompagne aussi des centaines de ­mairies. Mais nombreux sont les édiles qui ignorent que la gestion des chats errants est de leur responsabilité (art. L.211-27 du code rural).

Travail sans relâche

Les fonds servent principalement à l’identification et à la stérilisation des chats errants, reposant presque entièrement ...

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