Trois mois se sont écoulés depuis votre lettre ouverte à la secrétaire d’Etat chargée de l’enfance, Charlotte Caubel. Vous y appeliez à un plan Marshall dont vous avez ensuite défini les chantiers principaux. Cet appel a-t-il eu la résonance escomptée?
On peut dire que cette rentrée a été traumatique pour tous et qu’elle nous a d’emblée mis dans l’urgence d’agir et de se mettre en mouvement. Nous avions convenu de la nécessité de faire un certain nombre de propositions, sachant qu’il faudrait bien dissocier à la fois des mesures d’urgence à prendre sur les territoires les plus en difficulté et soutenir les acteurs qui peinent à mettre en œuvre les missions obligatoires. Mais ces mesures d’urgence ne pourront pas suffire, parce que la gravité de la situation appelle aussi à repenser un ...
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