Et revoilà l’ombre de la réforme de la DGF. Devant un parterre d’un millier de maires invités à l’Elysée le 22 novembre, Emmanuel Macron a ressorti du chapeau l’idée de faire une refonte de la dotation globale de fonctionnement afin de la rendre « plus juste, plus claire, plus prévisible ».
La députée du Puy-de-Dôme Christine Pirès Beaune (PS), initiatrice d’une première tentative en 2015, en est restée déconcertée : « Une réforme de la DGF ? Bon courage ! », lâche-t-elle dès le lendemain, depuis le congrès des maires.
La députée sait de quoi elle parle : en 2015, sa proposition de réforme avait été intégrée dans le PLF pour 2016, puis torpillée dès l’année suivante pour finir abandonnée en 2018, notamment à cause de la question de son financement et de la création d’une dotation ...
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