Le funéraire ? Les élus et les parlementaires n’en ont cure. C’est le constat partagé par tous les directeurs de pompes funèbres publiques, de crématoriums et conservateurs de cimetières. Hormis Jean-Pierre Sueur, sénateur à l’origine de la loi de 1993 qui a mis fin au monopole communal, et Ghislaine Delmond, élue toulousaine et vice-présidente de l’Union du pôle funéraire public, personne pour s’engager en faveur des droits des défunts, des endeuillés et des opérateurs funéraires. Et notamment pour défendre le service public funéraire, englouti peu à peu par les groupes privés.
- Comment le funéraire public veut sauver sa peau
« Souvent les dirigeants de régie, de SEM (Société d’économie mixte) ou SPL (Société publique locale) sont les seuls à fixer le cap car les élus ne s’emparent pas des ...
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Gazette des Communes
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