C’est un étonnant petit livre publié sous le frontispice de la Fondation Jean Jaurès, avec la bénédiction du premier président de la Cour des Comptes, Pierre Moscovici.
L’institution de la rue Cambon y est dépeinte sous un jour nouveau. Loin de son image d’Epinal composée de « plafonds hauts » et d’« analyses raisonnables », la haute juridiction financière est « en réalité espiègle et originale », assure d’entrée Pierre Moscovici.
Une préface de « Conter demain » (Aux éditions de l’Aube) qui résonne comme une promesse, au regard de la présence dans cette aventure d’Adeline Baldacchino. Cette magistrate financière a commis, voici huit ans, un joyeux brûlot contre la formation des hauts-fonctionnaires, « La ferme des énarques » (Aux éditions Michalon). Son acolyte de « Conter demain » Camille ...
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Gazette des Communes
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