Trois milliards d’euros… Ce montant ahurissant correspond aux besoins annuels d’investissements pour l’eau potable et l’assainissement non couverts en France (1). Pourtant, comme le rappelle Intercommunalités de France dans une étude récente sur le financement de la transition écologique, ces compétences pèsent déjà lourdement dans les comptes des intercos, représentant un cinquième de leur budget et le quart de leurs investissements.
La structuration territoriale des services d’eau et d’assainissement s’est faite dans la douleur et n’est pas encore achevée, mais elle commence à porter ses fruits. Organisés à plus vaste échelle que par le passé, ils sont dotés de moyens humains et financiers plus aptes à répondre aux immenses besoins des politiques de l’eau.
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