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[Entretien] Logement social

« Il nous faut un « pognon de dingue » pour répondre aux enjeux de demain »

Publié le 18/02/2022 • Par Delphine Gerbeau • dans : France

ROGEMONT-Marcel-une
M.R.
Marcel Rogemont, président de la Fédération des Offices publics de l'habitat, revient sur la production de logements sociaux en 2021, et la nécessité d'un retour du financement de l'Etat au secteur, face aux enjeux sociaux et écologiques.

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Le ministère du logement a rendu publics les chiffres de production de logements sociaux en 2021. Les agréments de logements sociaux s’élèvent à 94775 logements sociaux, dont 20% portés par les offices publics de l’habitat (OPH), et 62% par les entreprises sociales pour l’habitat, alors que chaque famille de bailleurs sociaux possède 40% du parc de logements.
Pourquoi un tel différentiel ? Marcel Rogemont, président de la Fédération des offices publics de l’habitat, dénonce des comparaisons inéquitables.

Le bilan des agréments de logements sociaux délivrés en 2021 démontre que les offices publics de l’habitat ne sont porteurs que de 20% des projets de nouveaux logements. Quelle en est la raison ?

Le gouvernement ne regarde que la production neuve, alors que nous ...

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« Il nous faut un « pognon de dingue » pour répondre aux enjeux de demain »

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HERMES

21/02/2022 09h39

Je ne partage pas du tout le point de vue de M. Rogement car il s’inscrit dans une poursuite des acquis sans aucune remise en cause.

Quand il dit que le coût du logement privé est beaucoup plus élevé dans le privé que dans le public, il dit vrai… mais pour les seules zones où le logement est rare, le prix des terrains exorbitant, voire même sans terrains à construire. Par contre, dans le reste du territoire, qui représente la plus grande partie, les prix au mètre carré des locations sont beaucoup plus proches entre le public et le privé.

Il existe une autre aberration: en simplifiant on peut dire que 80% de la population est éligible à un logement social (???) Comment cela est-il possible?

Enfin, on oppose souvent logement social et logement privé qui ne sont en fait que les deux faces d’une même pièce. On caricature aussi en disant que les logements privés sont insalubres et que ce n’est pas le cas des logements sociaux.
Sauf que les médias rapportent des cas similaires dans ces deux types de logements.
Il faut arrêter cette mise en scène.

Quand au dernier point relatif aux besoins financiers du logement social, pouvez-vous me dire si ces derniers payent des impôts sur le revenu et la CSG au mêmes taux que les logements privés?
Pour les bailleurs privés, avec des taux de prélèvement respectivement de 30% (classe moyenne) et 17,2%, on peut dire que la moitié des recettes locatives est reversée à l’Etat, sans parler de la taxe foncière qui pour certains représente 30% de ces mêmes revenus. Je sais, le logement social s’acquitte également de la TF mais bien plus tard (exonération de 15 ans si j’ai bonne mémoire au lieu de 2 ans)…
On peut donc vouloir bénéficier des mêmes avantages que le privé… mais dans ce cas mettons la parité entre les deux systèmes.

Je terminerai sur la construction de logements sociaux pour laquelle il existe une solution simple.
On constate sur le territoire que plus de 15% des logements sont vacants (il est vrai que ce taux n’est pas le même partout et ma proposition ne s’applique que là où ce taux est élevé). Pourquoi ne pas imaginer la mise en place d’un bail de type emphytéotique, mais limité dans le temps (par exemple 15 ans) avec la mise aux normes par le bailleur social et un reversement partiel des recettes au propriétaire privé?
On réduirait ainsi le coût pour la collectivité en redonnant des capacités d’accueil décentes pour une large population en revitalisant le territoire, tout en supprimant pas mal de contraintes pour les bailleurs privés.
Et si en plus ce revenu n’était pas imposable, on pourrait réduire le montant versé au propriétaire privé!

Et vous verrez, avec l’argent actuel on pourra faire de grandes choses…

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