C’est l’Association des maires ruraux de Loire-Atlantique (AMR 44) qui a mis les pieds dans le plat, dénonçant en juillet dernier « le scandale de la DETR et de la DSIL », via une étude envoyée au sous-préfet de Loire-Atlantique et portant sur les montants perçus entre 2018 et 2020. En 2020, les communes de moins de 3 500 habitants de Loire-Atlantique avaient perçu 3,1 M€ de DETR, soit 30 % de la DETR, quand dans le même temps celles de plus de 35 000 habitants percevaient 4,6 M€ (44 %) (1). Une situation aggravée par rapport à 2018 où les communes de moins de 3 500 habitants percevaient 4,4 M€ (42 %) contre 5 M€ (48 %) pour celles de plus de 3 500 habitants (2). 12 communes de moins de 3 500 habitants n’ont même eu aucune DETR entre 2018 et 2020, selon l’association.
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