« Définir un vocabulaire partagé de la maltraitance des personnes en situation de vulnérabilité » afin « d’appuyer concrètement les professionnels engagés dans le repérage, le traitement et la prévention de la maltraitance », tel était l’objectif des travaux de la commission nationale pour la lutte contre la maltraitance, restitués le 19 avril aux représentants politiques des champs concernés : enfance, handicap, et grand-âge.
« Savoir nommer la maltraitance, c’est le premier pas pour la combattre, il ne doit plus y avoir d’équivoques sur la qualification des actes », commente Sophie Cluzel, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des Personnes handicapées, dans un communiqué.
Des faits de maltraitance exacerbés par la crise sanitaire
Pour le gouvernement, ces travaux sont « l’occasion de mettre en lumière ce sujet, dans un contexte où les faits de maltraitance ont été exacerbés par la crise sanitaire ». Préalable au « renforcement de la politique publique de protection des personnes vulnérables », cette démarche « favorisera les synergies entre les collectivités territoriales et les
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Gazette des Communes
Références
Démarche nationale de consensus pour un vocabulaire partagé de la maltraitance des personnes en situation de vulnérabilité, Commission nationale de lutte contre la maltraitance et de promotion de la bientraitance, mars 2021, 28 pages.
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