Initié en 2016, le plan autoroutier portait initialement sur 800 millions d’euros d’investissements, co-financés par les péages et par les collectivités locales. En juin 2017, les avis négatifs de l’Arafer, l’autorité de régulation chargée de contrôler la hausse des péages, avaient fait craindre aux collectivités l’enterrement d’une grande partie de ces opérations. Il n’en est rien, le plan portera sur 700 millions d’euros d’investissement.
« Toutes les opérations que l’Arafer estimait inutiles pour l’usager ont été maintenues, explique une source au ministère des Transports. Le Conseil d’État a, lui, considéré qu’elles étaient utiles pour le réseau routier et donc finançables, en partie, par les péages ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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