C’est un sentiment mitigé qui prédomine, après la clôture du premier volet des Assises de l’eau consacré au petit cycle de l’eau (les réseaux et les usines), le 29 août.
Certes, tous les acteurs – publics comme privés – ont salué le fait que ce sujet ait été porté au plus haut niveau, avec le lancement des Assises par Emmanuel Macron en personne en novembre dernier lors du Congrès des maires, et la conclusion des débats par le Premier ministre le 29 août à Chaillol (Hautes-Alpes). « On n’avait pas vu ça depuis la loi sur l’eau de 1992 », se souvient Régis Taisne, chef du département « cycle de l’eau » à la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies. Il souligne que même la Loi sur l’eau et les milieux aquatiques (Lema) de ...
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