Pourquoi avoir lancé le manifeste pour une frugalité heureuse ?
Parce que nous voyons que le temps presse du point de vue climatique, de la biodiversité et de la raréfaction des ressources, et que les politiques nationales ambitieuses sont reportées, comme l’objectif de 50 % de nucléaire dans le mix énergétique, ruinant l’essor des renouvelables. Un autre coup bas est le prolongement de la tolérance à 65 kilowattheures par mètre carré – au lieu de 50 – pour la RT 2012 (réglementation thermique, ndlr) dans le résidentiel.
Nous avons voulu porter la voix de nombreux acteurs, architectes ou petites collectivités, qui représentent un vivier d’opérations frugales – en équipement notamment – peu visibles car ayant peu de poids financier, mais très intéressantes de par les ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
Références
Cet article fait partie du Dossier
Rénovation et construction : le bâtiment au coeur de la transition énergétique
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Sommaire du dossier
- Rénovation thermique : pourquoi ce n’est plus une option
- Alain Grandjean : « Ne faisons pas de zèle sur le bâtiment neuf »
- Plan de rénovation des bâtiments : de bonnes intentions, mais peu de précisions
- Immobilier : les collectivités s’attaquent à la maîtrise des consommations énergétiques
- « La frugalité dans le bâtiment réduit les coûts et la maintenance »
Thèmes abordés