« C’est une expérimentation un peu unique dans la ville. Lorsque nous sommes sur le pont de Pierre aujourd’hui, ce qui surprend le plus, c’est le silence, alors que nous sommes en plein cœur de ville », souligne Pierre Samblat, adjoint au chef du service « circulation et stationnement » de Bordeaux métropole. En tant que chef de projet, c’est lui qui pilote le test de la réservation de ce pont aux modes doux et aux transports, une initiative lancée en août 2017.
Un ouvrage symbolique
« Avant tout, cette expérimentation montre une volonté politique. Le maire, Alain Juppé, réfléchissait à une décision majeure dans le domaine des déplacements, qui marquerait les esprits et aurait une dimension concrète afin de réduire la pollution et l’accès de la voiture dans la ville, sans pour autant ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Techni.Cités
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés