Il y avait foule pour la présentation du nouveau Vélib’, le 25 octobre à Paris. Mais, au-delà des discours enjoués des élus sur la version 2 du vélo métropolitain perçait une inquiétude. Depuis quelques semaines en effet, tout le monde ne parle plus que du « free-floating », cette offre privée de vélos en libre service (VLS) répartis dans l’espace public et ne nécessitant pas de bornes de stationnement. Ils sont géolocalisables et déverrouillables grâce à une application sur smartphone, sans abonnement préalable. De quoi ringardiser le système classique de VLS que l’on prend et redépose dans des stations dédiées. Officiellement, les nouveaux arrivants assurent que les offres sont « complémentaires ». Mais, en off, la plupart des acteurs de la mobilité s’accordent : la concurrence va ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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