Avec une dette par habitant supérieure à la moyenne des communes de sa strate, Mantes-la-Jolie (Yvelines, 45 000 hab) a souscrit en 2007 des emprunts de type swap pour un montant de 13,5 millions d’euros, afin de poursuivre l’équipement de la ville, notamment l’investissement dans le cadre de l’Anru, tout en visant la réduction de l’endettement. « Rien de toxique, juste des swaps basés sur les écarts monétaires avec le franc suisse ou le dollar américain », affirme l’entourage du maire (LR) qui souligne que durant la longue période de bonification à taux faible, la commune a tiré de cet outil financier « un bénéfice de 6,2 millions d’euros aux moments les plus opportuns : ces swaps restent donc une opération positive ».
Un refus du ...
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