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Energie

La loi « Nome » adoptée par le Sénat

Publié le 01/10/2010 • Par Euractiv.fr • dans : France • Source : EuroActiv.fr

Le Sénat a adopté, jeudi 30 septembre, la loi portant nouvelle organisation du marché de l’électricité (Nome). Ce texte, adopté par 181 voix contre 152, contraint notamment EDF à vendre un quart de sa production nucléaire à ses concurrents à pris coûtant.

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Ce texte a été élaboré en grande partie sous la pression de la Commission européenne, qui a soumis la France et EDF à plusieurs enquêtes, révélant de sérieux dysfonctionnements sur le marché français de l’électricité.

De son côté, Paris a maintenu des tarifs réglementés et ainsi évité une hausse des prix pour les professionnels. Dans le cadre de la loi sur l’énergie du 7 décembre 2006, le Parlement a créé un système permettant le maintien des tarifs réglementés sur les sites qui en bénéficiaient déjà et a instauré un tarif réglementé transitoire d’ajustement au marché (Tartam) pour les consommateurs qui le souhaitaient.

Afin de répondre aux injonctions de la Commission européenne, le gouvernement a fini par demander à une commission dirigée par l’ancien président de l’autorité de régulation des communications électroniques et des postes française (Arcep), Paul Champsaur, de régler la question des tarifs réglementés.
Le rapport a été rendu le 24 avril 2009. Un projet de loi critiqué par les acteurs du secteur a circulé à l’automne. Le texte soumis à la concertation des parties prenantes, le 19 janvier 2010, est finalement revenu aux grands principes définis par le rapport Champsaur. La loi Nome a été adoptée le 15 juin par l’Assemblée nationale.

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La loi « Nome » adoptée par le Sénat

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Gabriel Amiot

01/10/2010 07h50

Il est fort regretable que le Sénat ait suivi l’Assemblée nationale sur ce sujet. Cette loi va faire la part belle aux « financiers » par rapport au vrai créateur de richesses que fut EDF avec son remarquable parc nucléaire. Pourquoi privilégier cette fausse concurrence ? Dans l’intérêt de qui ? C’est pourtant bien EDF qui gardera seule la responsabilité technique, économique et sociale du parc de production nucléaire. Dommage que nos représentants nationaux n’aient pas compris grand chose au problème ou alors s’ils ont compris, c’est encore plus grave.

GdeC

02/10/2010 08h52

une fois de plus, L’état se déleste de ses équipements, acquis avec l’argent du contribuable, pour le brader au privé… Lamentable ! et scandaleux.

garoo

03/10/2010 05h57

EDF paye des salaires scandaleusement élevés à ses salariés pour une productivité modeste sans compter les avantages annexes, tel que la Comité d’entreprise, grâce aux consommateurs d’électricité. Le monopole n’a jamais été dans l’intérêt du public. Le droit de grève d’EDF devrait être interdit s’agissant d’un service public de première nécessité.

eau

04/10/2010 10h33

que je sache, vendre l’électricité à prix coutant ne va rien changer en bien. que je sache encore : le droit de grève d’EDF ne provoque pas de coupures…
réfléchissez!!!

BJDBJD

22/12/2010 02h16

C’est un cadeau de 4mds par an de bénéfice aux traders de l’éléctricité, de quoi devenir propriétaire d’une centrale nucléaire par an.
Mais aussi inhiber toute la capacité d’exportation d’EDF.
En prime mécaniquement l’électricité va augmenter.
Voilà comment sur le tapis vert l’europe ceuille les bénéfices de 20 d’effort des Français. Trahison de l’état, contre l’intéret général, il faut agir en justice au plus tôt.

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